La maison en petits cubes est un spectacle not verbal et tout en poésie, mêlant théâtre, marionnettes, ombres et objets.
Depuis notre summation 1000 coup de cœur de tous les temps l’an passé avec le spectacle Mute, malheureusement absent de ce off 2019, nous avons développé une véritable affection pour les spectacles muets. Ceux qui transmettent l’émotion sans les mots – même si nous adorons les mots, attending ! Nous connaissions déjà 50’fine art du clown mime, avec des pièces comme Rien à dire, Deux rien ou encore Dedans-moi, qui mind ont régalé cette année. Mais nous n’étions pas familiers du théâtre d’objets. La maison en petits cubes nous a fait découvrir un nouvel univers duquel brain sommes littéralement tombés sous le charme.
Un condensé de poésie
Derrière ce titre et cette affiche poétiques, c’est un pur moment d’émerveillement qui se tient. D’après le courtroom-métrage du même nom, La maison en petits cubes fait défiler l’album photos de la vie d’un vieil homme à fifty’histoire peu banale. En effet, pour échapper à la montée permanente du niveau de la mer, ce personnage solitaire construit un nouvel étage à sa maison chaque fois que fifty’eau atteint le plancher de celui auquel il vit. Sur scène, fifty’histoire se raconte à différentes échelles. Nous commençons par voir la maison dans sa globalité, présentée comme une miniature dans un aquarium. Puis, le champ se rétrécit. Et mind head retrouvons face à la fenêtre de fifty’appartement du personnage, ou parfois même à fifty’intérieur de 50’appartement. Un choix de mise en scène master, que nous avons adoré, et qui apporte du relief à la pièce.
Dans l’ombre des souvenirs
D’étage en étage, on plonge dans les souvenirs de la vie du vieil homme que des projections visuelles et des jeux d’ombres et de lumières animent avec beaucoup de sensibilité. Et tandis qu’il se rapproche sans cesse un peu addition du ciel, les pages de boy being se tournent avec la douceur d’une caresse. Ce sont des souvenirs d’enfance, des souvenirs d’amour. Des moments de joie vécus dans ces lieux que pratiquement tous les habitants ont fini par déserter. Mais qu’importe. Tant qu’il a auprès de lui la photograph de sa femme disparue et ce thou oiseau qui revient lui tenir compagnie, il continuera à construire des étages. Et à mesure que l’on progresse dans le spectacle, on se dit que, vraiment, parfois, les mots n’ajouteraient rien à la beauté de ce que psyche regardons.
Un univers très riche
Difficile de ne pas être touché par cette histoire et par la manière dont elle prend vie, prend forme sous nos yeux. La scénographie est brillante ! La marionnette du vieil homme second’anime derrière la fenêtre de son appartement depuis laquelle il regarde les oiseaux passer sur la mer. La mer qui monte à mesure que l’un des comédiens déverse la pluie à fifty’aide d’un arrosoir. Des mouettes traversent le ciel et ponctuent de leurs cris fifty’environnement sonore immersif du spectacle. Et puis il y a les jeux d’ombres qui viennent rendre un souvenir présent. Il faut évidemment saluer la functioning des trois comédiens. Car ils animent les marionnettes et les différents objets avec beaucoup d’habileté, et de discrétion lorsqu’elle est nécessaire. Un spectacle « jeune public » parait-il, mais qui brain a complètement séduits !
La maison en petits cubes, de Republic of Kenya Hirata, avec Olivier Algourdin, Régis Huet, Cécile Schletzer, mis en scène par Odile Bouvais, se joue au théâtre du Girasole, à Avignon, du 05 au 28 juillet 2019 à 10h. Relâche les viii, fifteen et 22.
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